vendredi 22 mars 2013

L'éducation

Parmi les besoins fondamentaux, dont nous prenons conscience tout le long du Cycle Fondamental, l'éducation permet l'intégration sociale, la culture, l'individualité...

L'éducation participe à  la capacité de Libre Choix, Valeur Existentielle.

Selon la Convention des droits de l'enfant, l'éducation est un droit garanti par les Etats, et doit avoir les objectifs suivants :
Favoriser l'épanouissement de la personnalité de l'enfant et le développement de ses dons et de ses aptitudes mentales et physiques, dans toute la mesure de leurs potentialités ;
Inculquer à l'enfant le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales, et des principes consacrés dans la Charte des Nations Unies ;
Inculquer à l'enfant le respect de ses parents, de son identité, de sa langue et de ses valeurs culturelles, ainsi que le respect des valeurs nationales du pays dans lequel il vit, du pays duquel il peut être originaire et des civilisations différentes de la sienne ;
Préparer l'enfant à assumer les responsabilités de la vie dans une société libre, dans un esprit de compréhension, de paix, de tolérance, d'égalité entre les sexes et d'amitié entre tous les peuples et groupes ethniques, nationaux et religieux, et avec les personnes d'origine autochtone ;
Inculquer à l'enfant le respect du milieu naturel.
(Source : Wikipédia)
Je regrette beaucoup qu'il n'y ait pas en plus : l'apprentissage du Bonheur, mais tout espoir n'est pas perdu.

(photo internet)
Malheureusement, ces droits sont loin d'être appliqués à tous les enfants dans le monde. Et il n'est pas nécessaire de se téléporter au bout de la planète pour cela.
Les enfants handicapés font partie de ces enfants oubliés..
Mais la Sophrologie Caycédienne ne pousse pas à se lamenter mais à regarder ce qu'il y a de plus beau.
Nous avons une forte tendance, dans nos sociétés européennes, à attendre passivement que tout nous vienne d'en haut, c'est à dire, du gouvernement, des institutions publiques...
Dans son livre, "la guérison du monde", page 277, Frédéric Lenoir évoque la "passivité/obéissance" qui caractérise beaucoup de nos pays européens dont la France.
Je me permet de transcrire ici, un petit paragraphe de ce livre : 

"La logique d'obéissance/passivité qui domine encore en France et dans certains pays européens ne peut se perpétuer. Entendons-nous : il ne s'agit pas de remettre en cause les acquis sociaux de la modernité, mais d'apprendre à les gérer avec une maturité nouvelle. En d'autres termes, il va nous falloir désormais apprendre à conjuguer responsabilité individuelle ("je suis capable de me prendre en mains") et responsabilité collective ("je peux aussi compter sur les autres et je les aide à mon tour"). Cette équation n'est pas impossible, et nombreux sont ceux qui la mettent déjà en oeuvre au quotidien"

La Politicité (l'intérêt pour la chose publique dans n'importe laquelle de ses manifestations) fait partie des Valeurs Fondamentales. Certains personnes ont cherché au fond d'eux cette policité pour monter des actions qui vont dans le bon sens, sans attendre.

Les autorités, les élus sont des suiveurs et non des lanceurs d'idées. Ils suivent les demandes publiques les plus insistantes. 
Dans le cas des parents d'enfants handicapés et des adultes handicapés, la puissance de voix nécessaire pour se faire entendre n'est pas toujours assez forte, aussi certains ont décidé de se prendre en main.
Formidable exemple, je vous invite à découvrir une vidéo ici 
N'hésitez pas à laisser vos exemples et commentaires...

 Belle journée

Frédérique

vendredi 15 mars 2013

Question de couleurs...

Michel Pastoureau est un historien des couleurs, un anthropologue

A travers son petit livre interview avec Dominique Simonnet : Le livre des couleurs, il explique comment les couleurs parlent de notre culture, du regard, des jugements, des à priori...

Voici un petit extrait très intéressant à titre d'exemple, qui donne à réfléchir


Dans le chapitre concernant le blanc : 

Question de Dominique Simonnet : "Il y a un autre symbole qui nous colle, si j'ose dire à la peau : nous-mêmes, Européens, sommes censés avoir le teint blanc.

Réponse de Michel Pastoureau : C'est un enjeu social ! La blancheur de la peau a toujours agi comme un signe de reconnaissance. Jadis, puisque les paysans, qui travaillaient en plein air, avait le teint hâlé, les aristocrates se devaient d'avoir la peau le moins foncée possible, pour bien s'en distinguer. Dans les sociétés de cour du XVIIèmr et du XVIIIème siècle, ils s'enduisaient de crèmes pour se faire un masque blanc qu'ils rehaussaient en certains endroits avec du rouge.
(...)
Dans la seconde moitié du XIXème siècle, il convient, cette fois, de se distinguer des ouvriers, qui ont la peau blanche puisqu'ils travaillent à l'intérieur : pour l'élite, c'est donc le temps des bains de mer et du teint hâlé. Aujourd'hui, le balancier semble reparti dans l'autre sens : à force d'être à la portée de tous, le bronzage devient vulgaire.
(...)
DS : Et du regard des autres sociétés...
(...)
Les Asiatiques, eux, voient dans notre blancheur une évocation de la mort : l'homme blanc européen a un tient si morbide à leurs yeux qu'il est réputé sentir véritablement le cadavre. Chacun perçoit l'autre en fonction de sa propre symbolique. En Afrique, où il est important d'avoir la peau brillante et luisante (soit naturellement, soit artificiellement), la peau mate et sèche des Européens est vue comme maladive. Chaque regard est culturel. Nos préjugés sociaux se jouent dans le sentiment de notre propre couleur."


Un petit livre très instructif, rapide à lire et très peu cher en poche...

Belle lecture

A bientôt

Frédérique


jeudi 14 mars 2013

Dignité... Valeur Existentielle de l'Homme


 Que d'Espoir, une telle plaidoirie fait naître...
Espoir en la dignité retrouvée...
Dignité de l'Homme
Dignité de notre société
Dignité de l'Humanité



A bientôt

Frédérique